Diamante Prudence (Prue) Sanders

âge: 22 ans. date et lieu de naissance: 14 Février à New Heaven. origines: Américaine. études/métier: Etudiante en littérature et langues étrangères. orientation sexuelle: Hétérosexuelle. statut civil: Amoureuse mais célibataire. avatar Nina dobrev. groupe: Centralien.

⊱ Se lever et être de bonne humeur sans un peu de musique, semble être une chose impossible pour la belle Emrys. D'ailleurs sans sa dose de café pour lui donner du tonus et des chansons pour la faire bouger, elle peut vraiment être ronchon.
⊱ La franchise est à la fois une qualité et un grand défaut selon la belle brunette qui sait que par ses paroles, elle blesse parfois ses proches. L'intention n'est pas mauvaise, pourtant n'est-on pas blessé lorsqu'on prend la vérité telle une baffe en pleine figure?
⊱ Courageuse, la miss n'a qu'une seule et unique peur: perdre les gens qu'elle aime, ses proches.
⊱ Quand elle ne se sent pas bien, où à un coup de blues, elle met la musique à fond, et se laisse envahir par le rythme et les sensations qui la submergent.
⊱ Un peu bordélique, la belle ne fait pas exprès, et ne comprend pas comment une personne peut lui en vouloir. Et puis, ce n'est pas comme si elle ne s'y retrouvait pas dans son bazar.
⊱Romantique dans l'âme, elle rêve du grand amour même si elle ne l'avouera jamais.
⊱ La belle brune est une piètre cuisinière, elle sait pourtant faire de bonnes pizzas, merci papa on dira...mais sinon, elle crame pas mal des plats qu'elle cuisine. C'est pas sa faute si elle oublie qu'il y a quelque chose sur le feu.
⊱ A vrai dire, elle a aussi tendance à mettre les pieds dans le plat. Gaffeuse, elle ne le fait pas exprès, pourtant, pas de chance...quand il y a une gaffe à faire c'est pour elle.
⊱ Ouverte et très altruiste, elle est toujours là pour ses proches, et les gens savent qu'ils peuvent se confier à elle, car malgré tout, elle sait garder un secret.
⊱ Impulsive et impétueuse, elle fonce toujours tête la première!
⊱ Douce et attendrissante, elle sait à quel point une seconde chance est importante. Elle couvrira ses proches d'attentions plus mignonnes les unes que les autres.
⊱Blessée par la vie, elle ne parle que très peu de son passé...et ne parle pas du manque énorme qui a rendu sa vie si triste quand elle était enfant. Après tout, ce n'est pas plus mal, ça lui donne ce côté mystérieux.
⊱ Déterminée, et aimant les langues, elle s'est fixée l'objectif de devenir professeur de lettre, en anglais et en italien.
⊱ Rancunière, quand on la blesse, et qu'on lui brise le coeur, car on y ressort pas sans le lui briser, elle se ferme un moment et devient des plus glaciales avec nous.
⊱ Elle adore les animaux, et les voyages.Un vrai petit globe-trotteur, qui en profite pour faire le tour des Zoos, des réserves et des Safaris
⊱ Jalouse, elle taira pourtant sa colère quand on s'approchera de l'homme qu'elle aime...ou tout du moins, elle tentera, car elle ne veut pas lui appartenir si il n'est pas totalement sien
⊱ Par amour, elle donnerait sa vie, par amour, elle se battrait...mais surtout par amour,elle ferait des compromis quitte à le laisser partir si il ne l'aime plus.

« Maman, on part ? » J’avais deux ans et demi, et nous faisions nos cartons pour quitter cette ville dans laquelle j’étais née. Je ne savais guère comment, trop jeune pour comprendre, mais je sentais que quelque chose se passait. La vie ici , aux États-Unis, avec tous les conflits….ce n’était pas bon pour élever une enfant. C’est pourquoi mes parents avaient pris leur courage à deux mains et avaient décidé de partir vers ce nouvel horizon…une seule et unique direction : Central. C’est ainsi, qu’alors que j’étais encore un bébé, nous avons déménagé là-bas. Je ne savais pas que ma vie allait changer, que je ne serais dans ma vie jamais réellement maître de mon destin. Et mes parents, eux ne s’en doutaient pas, et malgré les difficultés, le bonheur vint égayer nos vies. Oui, nous étions heureux, et je grandissais entourée d’amour, de tendresse. J’étais une enfant qui apprenait très vite, qui aimait se cultiver et qui adorait les voyages. Oui, ma mère avec tous les contes, les légendes étrangères qu’elle me racontait m’avait fait rêvé. Rêver d’un monde pas comme les autres, dans lequel je pouvais me sentir vraiment moi, et c’est avec son amour pour l’Italie, son pays préféré, que je m’intéressai pour la première fois à cette langue. Ca commençait par des chansons, des films en vo…et avec tous les documentaires sur l’Italie, j’en suis tombée amoureuse quand j’en avais 10, et je balbutiais déjà quelques mots. Voyant que je grandissais et qu’à mon tour, j’étais passionnée, elle demanda à une amie de Florence de m’apprendre à parler. Oui je débutais jeune, mais que voulez-vous c’est ainsi. Bref, je me cultivais et nourrissais jour après jour ce désir de quitter la ville et prendre mon envol direction de la partie de Central en Italie, Rome ; Milan, pour en connaître sa culture, malgré ce territoire dévasté et nouveau et pourquoi pas un jour y vivre quand je serai plus vieille si je m'y plais et en aime les vestiges. Oui, c’était un rêve, un but que je m’étais fixée et que mes parents voulaient que je réalise. Pour cela, ils avaient donc décidé de m’offrir pour mon bac, un voyage en cette pseudo "Italie" prévu un peu moins d’un an plus tard, me laissant l’opportunité de visiter ces lieux le jour de mon dix-huitième anniversaire. Malheureusement pour moi, ce jour n’arriva jamais, car la vie vint faire de ma vie un supplice. A croire que j’avais connu trop de joie et que la roue du destin était décidée à tourner et tout foutre en l’air dans mon monde. Monde qui s’était alors écroulait en un claquement de doigt.

C’était le jour J. Après des mois passaient à rêver de l’ancienne Italie, j’allais enfin aller sur cette nouvelle partie de Central. J’étais toute excitée, que je ne m’attendais pas une seule seconde à ce que quelque chose vienne gâcher mon bonheur. La musique à fond dans ma chambre, je dansais tout en faisant ma valise. Il ne me restait plus énormément de temps, avant que mes parents ne rentrent pour venir me chercher et m’amener à l’aéroport. Alors je me pressais de boucler ma valise, après avoir vérifié maintes et maintes fois que je n’ai rien oublié. Je voulais que tout soit parfait , et il était hors de questions, que j’oublie ne serait-ce ma brosse à dent. Je checkais donc tout une seconde fois, mon passeport dans le sac check, mon cellphone check, mon portefeuille check, et tout le reste était parfaitement rangé dans mon bagage. A croire que je savais être ponctuelle quand il s’agissait de choses qui me tenaient à cœur. Un peu chargée, je descendis avec toutes mes affaires, pour rejoindre le salon. Le silence qui régnait dans cette pièce si chaleureuse, la rendait glaciale. J’avais un mauvais pressentiment quant au retard de mes parents. Ce n’était pas dans leurs habitudes…mais que diable faisaient-ils ? Je pris mon portable, tentant de les joindre, mais ils ne répondirent à aucun de mes appels. Je ne me sentais pas bien, l’inquiétude m’envahissant rapidement. Des pensées négatives vinrent se bousculer dans mon esprit, mais je n’eus pas le temps d’y réfléchir longuement, car soudain on vint frapper à la porte. Je soufflais et allais ouvrir, mes mon cœur manqua un battement quand je vis sur le pas de la porte ce policier avec un air grave sur le visage. Il n’avait pourtant pas prononcé de mots, que je fondis en larme. Son regard désolé avait suffi, je savais que ma vie ne serait plus jamais comme avant. J’avais perdu les seuls êtres qui m’étaient chers, ceux pour qui j’aurais donné ma vie, ceux sans qui je n’étais rien. Mes jambes flanchèrent et je tombai au sol, la douleur me déchirant la poitrine, les sanglots me coupant le souffle. Comment pouvais-je survivre sans mes parents, ma mère ma meilleure amie, mon père ce héros. Non, je n’étais plus rien sans eux. Ce jour me marqua à tout jamais, et fis de ma vie un supplice, un véritable enfer, duquel je ne réussis à sortir qu’il n’y a quelques mois. Chaque jour, je tentais de me battre pour eux, chaque souffle leur était dédié, et peu de personne ne le comprenait. Quant à ma tante chez qui je vivais, elle ne connaissait guère la souffrance contre laquelle je luttais chaque instant.

Pour moi, le mot bonheur, le mot famille qui si longtemps avaient compté ne représentaient plus rien. J'avais mal, tous les matins, je me levais , un noeud dans l'estomac, incapable de sourire vraiment. C'était fou, me battre me semblait inutile, cependant je le faisais car je savais qu'au fond, c'était ce qu'ils auraient voulu. Et alors que ce matin-là le soleil se levait, j'avais repensé à ce que me disais ma mère quand j'étais enfant " Chérie, tu as un don pour les langues...et tu sais que tu ferais une sublime prof d'italien" Oui, elle avait toujours raison, et c'est pour cette raison notamment, et pour mon goût du voyage et des langues, que je m'étais inscrite au cours du professeur Adriano Francisco. Et il faut croire que c'était un signe du destin pour que je comprenne que le bonheur était encore accessible et qu'une vie où je pouvais être épanouie, car je faisais ce que j'aimais était à ma portée. Dès son premier cours, je fus séduite. Pas seulement par ce beau brun charmeur, mais par sa langue, sa façon de nous apprendre la culture italienne...il avait une aisance, un charisme...ça se voyait, il avait tout ça dans le sang...et avait réussi à me redonner d'une certaine manière du courage, mais surtout goût en quelque chose. Ce qui m'étonnait car dans cette sombre aventure, je n'avais plus goût en rien. Puis avec les jours, les soirs passés en sa compagnie à parler de tout et de rien, il m'apporta quelque chose de plus beau, de plus profond mais si déstabilisant. J'aimais sa compagnie, sa voix...sa présence...plus les heures s'écoulaient, plus j'étais déstabilisée alors que mon coeur s'emballait pour lui, j'en tombais amoureuse.... Mais le bonheur fut de courte durée car après que nous ayons partagé cette nuit interdite, il m'évita, se disant trop dangereux pour rester près de moi. Je savais qu'il avait peur du retour de ses vieux démons, seulement rien n'y faisait. Je voulais me battre pour lui, pour cette passion, ce danger...ce bonheur que je ressentais à ses côtés...Est-ce mal de vouloir surmonter les obstacles pour cet être qui est notre oxygène, notre raison de tenir et de ne pas glisser sur cette pente dangereuse menant au désespoir , à la peine et la souffrance...? Non, alors depuis trois mois, je faisais tout mon possible pour qu'il me revienne, quelque soit les règles qui régissent nos vies.

pseudo: Jess. âge: 21. présence: 4/7 environ pour le rp. où as-tu découvert le forum? Grâce à une belle demoiselle qui joue Ian...mais chut c'est un secret. crédits: Tumblr. autres: Vous m'aimez déjà pas vrai?.

Chère Centralienne

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